VARDOK Dune

La Physionomie

Physique : Dune est une jeune fille de taille moyenne, quelques 170 cm, et considérée comme fine. Légère, svelte et au corps élancée, elle n’en est pas moins musclée. En effet, entretenant très souvent son corps, elle est pourvue de longs muscles fins, dessinant un corps tout en souplesse. Grace à ceci, elle est vue comme jolie, tout en gardant des formes là où il en faut.
Pour continuer, cette jeune fille de 17 printemps, est une jeune femme au teint très pale. Quasiment blanche-albinos, sa peau refuse de prendre un joli teint halé au soleil. A la place, elle brûle. Selon certaine personne, elle est albinos, selon d’autre elle est simplement allergique au soleil. Pour Dune, ce n’est juste une chose de plus l’énervant. Bien que maintenant elle sache en tirer avantage, elle n’a jamais complètement accepté le fait de ne pas pouvoir lézarder au soleil comme les autres.
Elle porte, sur son épaule gauche, un désastreux souvenir de son adolescence. Une croix (plus précisément la croix de st Jacques de Compostelle) a été tailladée dans sa chaire, grossièrement et reste désormais comme une blessure, une scarification qui ne disparaitra jamais.
Autre bizarrerie, chez elle, sont ses cheveux. Ceux-ci ont une étrange couleur blond-blanc, tirant plus sur le blanc qu’autre chose. Lorsque la lumière se reflète sur cette crinière incolore, elle semble prendre des reflets allant du blond paille, à l’or voir au cuivré doux. Ceci contraste à merveille avec son teint et créer chez cette étrange jeune fille, un charisme particulier qui en étonnent certain(e)s et en révulsent d’autres. Autrefois ses cheveux étaient longs, mais par besoin de changement et de révolution, Dune les à rasé. Désormais, ils lui arrivent au niveau du haut du cou.
Cette masse de cheveux encadre un visage en forme de cœur. Tout aussi claire que le reste de son corps, il est toutefois pourvu de quelques couleurs lorsque certains sentiments trainent dans la jeune femme. Elle possède d’incroyables yeux gris-aciers virant selon son humeur et le temps au bleu-gris voir au vert-gris. Toutefois, lorsqu’elle s’énerve, ils prennent vite une couleur allant du gris foncé au noir d’encre.

Style vestimentaire : On peut, ensuite, parler un peu de ses gouts vestimentaires. Très affirmée et anticonformiste, elle porte ce qu’elle aime, comme elle l’entend et quand elle le veut. Elle ne craint ni la provocation, ni le ridicule, tant que sa tenue lui plait. Elle apprécie, dans tous ces gouts, deux choses complètements opposées. Le Visual Kei, et le trendy. Ce qui lui permet de venir habillée autant en petite robe légère et fine, qu’avec des habits choquants beaucoup de monde. Ceci peut être à la fois bien vue, ou complètement détestée. Pour Dune, c’est juste une façon de s’affirmer… ou de se cacher.
Elle a tout de même pour habitude et gout de porter des choses choquantes, hors des normes et surtout des modes. Elle ne craint ni de dévoiler son corps, ni de l’enlaidir ou au contraire de le mettre en valeur. Elle s’habille au grès de ses humeurs et de son imagination du jour.
De même, si elle adopte une tenue simple et normale, Dune va obligatoirement rajouter un élément, accessoires ou autres, qui détonnera avec sa tenue. Ceci lui donne sa marque de fabrique.

Particularités physiques : Sa ‘gravure’ sur l’épaule gauche représentant la croix de St Jacques de Compostelle.


La Psychologie :

Caractère : Dune est une jeune fille complexe, cachant en elle plusieurs facettes, qu’elle dévoile au grès de son chemin, avec plus ou moins de bonne grâce.
Tout d’abord, elle est une jeune fille que l’on caractérisée de solitaire. Se mêlant difficilement aux autres, elle ne supporte pas la foule. Même si elle n’en a jamais parlé, elle a presqu’une peur panique des grands espaces bondés de gens, où l’on peut à peine respirer. Froide à première vue, elle semble refuser tout contact avec les autres. Ceci est une carapace de protection. Elle aime se retrouver seule la nuit et profiter du ciel étoilée. Ceci lui a, en plus, donner une excellente vue nocturne.
Ensuite, Dune peut être considérée comme une jeune fille violente. En effet, même si elle possède un grand sang froid, il lui arrive –de plus en plus souvent- de sortir de ses gonds et de devenir « incontrôlable ». Excellente combattante, elle n’a ni peur de faire mal, ni peur de se faire blesser. N’obéissant qu’à ses principes, elle refuse toutes règles qu’elle n’aime ou ne comprends pas. On peut donc dire qu’elle est aussi anticonformiste dans sa façon de s’habiller que de penser.
Par contre, cette jeune fille est quelqu’un de très loyale. Donnant sa confiance, elle restera fidèle à sa parole et ce qu’implique une amitié. Jamais elle ne laissera un ami dans les ennuis. Elle préfère se sacrifiée à la place de quelqu’un qui lui est cher. Pourtant, ayant compris à quel point il est dur de protéger quelqu’un de précieux à son cœur, elle a beaucoup de mal à donner sa confiance. Lorsqu’elle le fait, cependant, elle la donne en entier, quitte à devenir quelque peu naïve.
De plus, elle est une jeune fille renfermée. Parlant très peu d’elle, elle voit les psychologues et autres personnes censées la comprendre comme des ennemis. Ceci vient de son enfance, et elle n’a jamais plus réussit à voir ces personnes comme des gens digne de confiance. Ceci c’est, peu à peu, généralisé, et maintenant, elle refuse constamment de parler d’elle ou de ses problèmes à qui que se soit, enfermant ses souffrances en elle.
On peut aussi rajouter qu’Dune n’a aucune conception de l’amour. Ne comprenant ni le sentiment, ne le bonheur qu’il entraine, il est devenue, pour elle, un mythe bien amusant. Elle peut coucher avec un homme sans éprouvée de sentiment, et disparaitre le lendemain. Lorsque sa vie en dépend –c'est-à-dire lorsqu’elle n’a plus d’argent-, elle en fait même un «petit boulot » de quelques jours, avant de disparaitre, comme à son habitude.
Enfin, depuis quelques années, Dune connait un genre de schizophrénie qui se fait connaitre par une voix dans sa tête et avec laquelle elle est plus ou moins en conflit. Il est une part d’elle-même d’une violence incroyable et d’une témérité sans borne. Ceci est aussi une explication de la hausse de violence chez la blonde. Sanguinaire, froide, cruelle, elle se dit elle-même damné et comme ayant perdu son humanité.

Goûts : Dune aime avant tout la solitude. Pour elle, être en groupe n’est ni attractif, ni constructif. Seule, elle peut faire ce qu’elle souhaite, comme elle le souhaite. Avec la solitude vient la musique qui l’empêche de se perdre trop dans ses pensées. Lié à la musique vient le chant. Malgré le fait qu’elle parle très peu, elle aime chantée pour elle et elle seule. Autres choses qu’elle apprécie sont les combats, la violence au sens le plus générale et surtout les défis. Pour elle, plus il est stupide et dangereux, plus cela est attractif.
Au contraire, Dune n’aime pas les autres en général. Encore pire, elle déteste la gentillesse gratuite, qu’elle prend comme de la pitié à son égard. Très méfiante, elle n’aime pas qu’on s’intéresse de trop près à elle. Sinon, elle n’apprécie pas la nourriture. Ceci est assez étrange, mais Dune n’aime pas manger, elle considère ceci comme une perte de temps. Et puis, il a mille autres petites choses qu’elle n’aime pas comme la foule, la joie des autres, les cours, entre autre.

Particularités/tics/manies : Dune est empathique à la souffrance. Ceci signifie qu’elle a tendance à ressentir facilement lorsque quelqu’un souffre physique ou moralement près d’elle, bien qu’elle ne puisse pas distinguer ces deux types de souffrances ni leurs origines. Sinon, elle a un tic lorsqu’elle marche, qui est de le faire en fermant les yeux et en se laissant guider par son instinct.


La Biographie

Famille : Mère: Assa Vardok, décédée. Père : Sergueï Vardok, parti au USA. Soeur : Anna Vardok , partie au USA

Histoire : Le « Il était une fois » de Dune se place un 13 juillet, en Russie, plus précisément à Vladivostok sur la côté est du pays. Née d’un père russe et d’une mère française, elle arriva d’une manière plutôt surprenante. Sa mère, Assa, était à la maison, tout ce qu’il y avait de plus normal, à vaquer aux taches ménagères et à s’occuper de sa fille âgée d’un an, Anna. Oui, tout était normal… et voila justement le problème. Personne n’avait prévu la venue de Dune. Personne n’avait comprit que la femme était enceinte, pas même son mari… pas même elle. Lorsque les contractions arrivèrent, Assa paniqua. Accompagnée de son mari, Sergueï, elle alla à l’hôpital, persuadé qu’elle déclenchait l’appendicite. Une écographie, et on lui révéla qu’elle était sur le point d’accoucher. La jeune femme ne comprenait pas. Elle n’était pas enceinte ! Elle ne voulait pas d’enfant ! Lorsqu’on lui fit comprendre qu’elle était en déni de grossesse, il était trop tard pour avorter. Elle devait accepter l’enfant. C’était un 13 juillet, et déjà Dune était la personne en trop parmi sa famille. Née d’un déni de grossesse, le premier regard qu’elle reçu fut celui de la haine.

Malgré sa naissance refusée, Dune passa ses premières années auprès de sa famille. Fille non désirée de ses parents, elle ne trouva guère d’amour auprès d’eux. Néanmoins, elle était heureuse et ceci grâce à son ainée. Anna était la seule qui l’avait accueilli dans la famille avait joie. La seule qui la voulait vraiment près d’elle. Ainsi, les deux petites filles grandirent ensemble, toujours liées l’une à l’autre, si complices qu’elles ne pouvaient supporter de voir l’autre loin.

L’enfance de Dune aurait pu être agréable. Il le fut, quoique grandement atténué lorsque son père, garagiste mais magouillant dans des affaires louches, se mit à devenir violent. Il s’en prit d’abord à sa femme. L’humiliant, la frappant, il sembla s’en éloigner à grand pas, la haïssant pour une raison inconnue. Puis, alors qu’Dune atteignait les 6 ans, sa haine se reporta sur elle. L’enfant ne comprit pas et pourtant elle subit sans un mot. Sa sœur, Anna, était très proche de leur père, et pour elle, elle ne s’en plaignit jamais. Courageuse jusqu’à ce que les coups deviennent plus forts, plus dangereux, la gamine continua à grappiller des années et à chérir sa sœur plus que tout.

L’histoire prit un nouveau tournant, manquant de tuer la russe en même temps, lorsque Dune eut 11 ans. Elle ne se souvient plus de rien de ce jour. Rien d’autre que sa sœur venant la voir, un sourire aux lèvres. Anna lui avait offert un accessoire pour un déguisement d’un carnaval à venir. Un cache-œil customisée par ses soins. Le soir arrivant, leur père était rentré en furie dans la maison et tout en hurlant, il avait déclaré qu’il partait vivre aux USA. Dans sa fuite incompréhensible, il emporta Anna. Ou bien Anna le suivit… Ce jour, dans l’esprit de Dune se brouilla jusqu’à devenir un mélange de bruits et de larmes…

Loin d’Anna, l’enfant changea doucement de vie. D’abord, elle voulut se laisser mourir. Sans sa sœur, elle ne se voyait pas vivre. Pourtant, son besoin de vivre, d’aller plus loin, la poussa à reprendre le dessus. Sa mère, déjà distante avec elle, le fut encore plus après le départ de Sergueï. Ignorant sa fille, lui faisant ressentir à quel point elle la haïssait d’avoir détruit sa vie, elle lui mit sur le dos la responsabilité de la fuite de son père.

Dune chercha alors à fuir sa mère. Effrontée et provocante, elle la défia nombre de fois, et malgré toutes les disputes et les coups, sa mère ne la laissa pas partir de la maison. La gamine devint alors peu à peu de plus en plus violente. Se battant à l’école, même dans les rues, elle s’attira les foudres de beaucoup de groupe. Jouant avec la vie et les garçons, elle provoqua plus d’ennuis que quiconque dans la ville. Plus elle grandissait, plus sa violence s’amplifiait.

Alors qu’elle avait atteint ses 14 ans depuis quelques mois, Dune alla plus loin. Un garçon qui aimait se moquer d’elle souvent, un de ceux avec qui les tensions étaient si palpables que l’air devenait électrique, un môme d’un des clans qu’elle aimait provoquer, la passa à tabac avec trois de ses amis. Lorsqu’elle fut bien calmée, à moitié assommée sur le sol, il voulu l’humilier un peu plus et tenta de la déshabiller. C’en fut trop pour la jeune fille. Déjà incontrôlable, elle péta littéralement un câble. Malgré sa confusion et ses blessures, elle réussit à se remettre sur pied et défia l’homme qui voulait, l’abaisser au rang de prostitué. Ne supportant ni les moqueries ni l’insolence du jeune homme, elle se jeta sur lui. Ensuite, comme prise de frénésie, elle le frappa. Lorsqu’elle sortit de sa « transe », il était mort et dans un état ahurissant. Défiguré à jamais, il avait plusieurs fractures, et était couvert d’hématome. Se rendant compte de sa force, la jeune fille prit peur. Elle alla se terrer chez elle.

Puis le temps fit son effet. Reprenant doucement ses habitudes, Dune devint alors comme apathique. Toujours aussi violente, elle ne réagissait pourtant plus de la même manière. Le fait d’avoir tuer l’avait détruit de l’intérieur. Elle trouva refuge auprès d’un clan de la ville. Là, on l’attira dans tous les vices, alcool, drogue, sexe, violence. Sa mère la laissa faire, la tolérant à peine sous son toit. Et bien sur, lorsqu’on pense vices, on pense addiction, avec raison. Dune grava là sa vraie face. Fumeuse, jouant avec les hommes et les femmes, se battant mieux que certains hommes, ayant déjà tué et n’hésitant pas à le refaire, elle mena une vie de débauche.

Alors que quinzième année débutait, un nouvel événement provoqua une suite d’autres qui dessina le futur de l’adolescente. Le groupe de l’homme qu’elle avait tué voulu se venger. Ils réussirent à attraper la jeune fille lors d’un de ses moments de plane total, et ils la séquestrèrent. Lorsqu’elle reprit conscience, elle était dans une cave. Ses bourreaux avaient attendu qu’elle revienne à elle pour leur vengeance. Contrairement à ce qu’elle pensait, ils ne la tuèrent pas, non… Ils la torturèrent. Longtemps… Douloureusement… Sadiquement… Puis pour le bouquet final, ils gravèrent sur son épaule gauche leur insigne, une croix épée, la croix de St Jacques de Compostelle. Ils l’abandonnèrent dans une rue…

Par un coup de chance –pas très nombreux dans sa vie- Dune fut trouvée et transportée aux urgences. On la soigna et on la renvoya chez sa mère qui l’accueillit froidement. Laissant sa fille dans sa chambre, elle vint tout de même lui monter de la nourriture une fois par journée sans un mot. Le temps cicatrisa la punition de son épaule et dégrada la blessure de son cœur. Blessure d’humiliation et de souffrance. La folie vint empoisonner la plaie et Dune perdit définitivement une partie de sa raison.

Quasiment un an après sont accident, la brune était devenue encore plus violence, plus sadique. Alors qu’elle se préparait à enlever de sa chambre tous les souvenirs de sa vie d’avant, bien décidé à choisir celle de débauche qu’elle s’était fabriquée sur mesure, elle tomba sur un cadeau qui signait la rupture entre l’Avant et l’Après : le cache-œil d’Anna. Dune sentit une vague de tristesse et de nostalgie la secouer. Sur un coup de tête, un besoin et un défi, elle prit un sac, y fourra quelques habits, ses quelques économies –provenant pour la plupart de vols- elle alla voir sa mère. Elle lâcha, simplement qu’elle partait. Lorsque sa mère lui demanda la destination, et que Dune ait dit les USA, sa mère changea de comportement. Hurlant comme une démente, elle refusa qu’elle parte. L’insultant, elle en vint même à lui lancer tout ce qui lui passait sous la main. Pour l’adolescente, c’en fut trop. Elle supportait cette haine depuis son enfant, et aujourd’hui c’était la goutte d’eau faisant déborder le vase. De sang froid et sans remord, elle tenta de la tuer par strangulation. Tout du long, elle regarda sa génitrice dans les yeux, y mettant tout le dégout qu’elle pouvait. Jusqu’au bout elle supporta le regard de haine mêlé d’écœurement d’Assa. Regard qui hantera ses rêves pendant longtemps encore…

Elle ne put pas finir. Elle n’en eut pas le temps. Découverte par les voisins qui avaient entendus les cris de sa mère, elle fut arrêtée, puis placée en garde à vue. 16 ans et déjà elle était devenue un être irrécupérable, plus vile que les humains, plus monstres que certains monstres, moins humaine qu’un animale. Non-majeure, elle ne put être emprisonnée. A la place on l’envoya en centre de redressement pour mineur. Là, elle comprit enfin et changea. La violence resta un de ses plaisirs mais elle apprit à se contrôler et a souffrir comme elle avait souffrir les autres. Sa vie devint silence et solitude. Et souffrance. En effet, ce fut à l’arrivée de son nouveau centre et à un traitement inadapté à son âge et à sa corpulence qu’elle déclara une sensibilité à la souffrance de ceux qui l’entourait. Elle ne put jamais s’en défaire. Obliger pour se repentir de vivre avec une constante souffrance en elle. Elle l’accepta comme une punition.

Le centre se succédèrent. Avec eux et grâce à un comportement correct et en net amélioration, ce put être les pays. Le Japon. Dune en avait rêvé de celui-là sans jamais penser le connaitre. Elle le trouva néanmoins. Les années, elles, s’écoulèrent, se ressemblant. Avec elle, une partie de la folie de la jeune fille sembla s’en aller, ou s’effacer un peu, ainsi que le souvenir de sa sœur et celui de son ‘avant’.

Puis, lors de son 18ème anniversaire, on lui apprit qu’un nouveau changement de centre allait se faire. La jeune fille attendit. Elle connaissait la procédure. C’était souvent lent. Ce fut le cas. Quelques mois après cette annonce, elle fut enfin prévenue de son départ immédiat. Elle rassembla ses affaires et se retrouva dehors. Enfin… Pour bonne conduite, on lui redonnait sa liberté. Néanmoins, pour éviter une rechute, on l’envoyait dans un pensionnat sur une ile perdue près du Japon pour poursuivre ses études. Elle était libre dans une prison dorée. Au moins, elle retrouverait l’espace. Elle accepta.

Au jour d’aujourd’hui, elle vient de débarqué sur cette fameuse ile, et espère pouvoir débuté dans sa nouvelle école une vie plus calme ou tout du moins, plus libre.


Derrière l'écran, [Marie ou ‘Déesse Louve 8D’]

Age : 17 ans passé x)
]u]Taux de présence[/u] : 6/7 en ce moment mais ca remonte très vite à 9/10 lorsque j’ai du temps =)
Comment avez vous connu le forum ? : Topsite 8D
Personnage de l'avatar :Inconnu
Commentaires / remarques / critiques ? : J’adopte le contexte de ce forum *O* (il me rappelle un de mes premiers forums xD). Sinon que dire ? (A) Ah si : Ok, Tak'

Bienvenue ! Quelques fautes par ci par là, mais belle fiche dans l'ensemble.

Validée la Miss.

Pense à mettre à jour ton profil ( entre autre en mettant le lein vers ta présentation), ainsi qu'à faire ta demande de chambre, et à débuter si tu le souhaite ta fiche de liens et chronologies.

Passe de bons moments parmi nous.